À la rencontre de l’écrivaine Susanne Schädlich


Susanne Schädlig

Lecture-rencontre organisée par la Maison Heinrich Heine

Pour faire plus ample connaissance avec Susanne Schädlich, découvrez en allemand :

le blog de cette auteure ainsi que sur le site des Èditions Drömer-Knaur , un interview de Susanne Schädlich
et sous forme de livre électronique, des passages de son roman autobiograpique "Westwärts so weit es nur geht".

Cliquer ici pour lire une proposition de traduction en français du début de ce roman.

Heureux ceux pour qui, parmi nous le nom de Schädlich évoque quelque chose, qu’il s’agisse du père, illustre écrivain, victime du régime politique de la RDA Hans Joachim Schädlich ou de sa fille, Susanne, journaliste, écrivaine et traductrice en langue anglaise et espagnole. Car je crains, peu d’entre-nous ne connaisse les oeuvres de cette famille d'écrivains, tout comme la traduction automatique de Google propose l'adjectif "nuisible" à la place du patronyme Schädlich Quel dommage !!!! Rien de nuisible, bien au contraire, j'ai été touchée par la finesse et la justesse des mots de cette jeune écrivaine prometteuse. Mais je dois avouer qu’avant d’assister à la lecture rencontre de la présentation de son livre  Immer Wieder in Dezember, je ne savais rien d'elle ni même de son père. Je souhaiterais vous faire partager ces moments riches en émotions.
Pour ce faire, je vous présenterai deux critiques de ce livre sous des angles différents : la critique de Kai Schlieter : Né en 1974, ce sociologue et sociopédagogue est rédacteur auprès du journal Taz.tageszeitung de la traduction de cet article que j’ai faite en langue française et suggère aux non-germanistes francophones ainsi qu’un extrait de la chronique littéraire française Septentrion.
Qu’il s’agisse de la critique de Vladimir Balzer ou des extraits du roman « Westwärts, so weit es nur geht », je me suis efforcée dans ma traduction française de rester aussi proche possible de la pensée des auteurs. À bons entendeurs et bonnes critiques salut !!!!